On peut ainsi remplacer une pièce abîmée plutôt que de la jeter et remplacer son appareil entier, tous les éléments s’articulant et se connectant autour d’une carte mère, le processeur et des connecteurs de blocs.
Un téléphone ne dure aujourd’hui que quelques années avant qu’il ne se brise ou ne devienne obsolète. Bien que ce ne soit souvent qu’une partie qui est abîmée, il est alors jeté, car il est presque impossible de le réparer ou de l’améliorer. Ainsi, le Phonebloks doit selon lui être un modèle alternatif où la durée de vie d’un téléphone serait considérablement allongée.
Le concept soutenu par des millions de personnes semble avoir convaincu Motorola qui vient d’annoncer le lancement du projet Ares dont les recherches auraient débuté il y a un an. Un rapprochement va également être opéré avec le projet Phonebloks. « Il s’avère que nous partageons une vision commune: développer un téléphone modulaire, ouvert, personnalisable et fait pour le monde entier » écrit l’entreprise sur son blog.
Motorola a annoncé que des invitations allaient être envoyées dans les prochains mois aux développeurs afin qu’ils puissent commencer à créer des modules. Une version alpha de la plateforme principale du téléphone pourrait être présentée cet hiver.
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